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Éducation à la santé / Didier Jourdan
Titre : Éducation à la santé : quelle formation pour les enseignants ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Didier Jourdan (1963-....), Auteur Editeur : Saint-Denis : INPES éd. Année de publication : impr. 2010 Collection : La Santé en action (Vanves), ISSN 1242-8825 Importance : 1 vol. (162 p.) Présentation : graph., couv. ill. en coul. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-916192-14-7 Prix : gratuit Note générale : INPES = Institut national de prévention et d'éducation pour la santé Langues : Français (fre) Mots-clés : Éducation à la santéEnseignement Index. décimale : 613.0 Résumé : L’éducation à la santé vise à aider chaque jeune à s’approprier progressivement les moyens d’opérer des choix, d’adopter des comportements responsables en matière de santé, pour lui-même comme vis-à-vis d’autrui. Elle permet ainsi de préparer les jeunes à exercer leur citoyenneté. L’action de l’école est alors de contribuer à développer cette capacité à décider par soi-même, à prendre en main sa propre santé. Dans cette perspective, l'éducation à la santé n'est pas l'affaire de spécialistes, mais relève de l'action quotidienne des adultes en charge de l'éducation des enfants et des adolescents.
Pour les enseignants des premier et second degrés, l’éducation à la santé prend place au sein d’une multitude de missions. Leur formation dans ce domaine ne peut donc se limiter à organiser des séances d’information sur les différents thèmes liés à la santé. C’est en articulation étroite avec les autres dimensions du métier d’enseignant aujourd’hui et en se situant au cœur de la dynamique de redéfinition du métier d’enseignant que peut être proposée une formation réellement adaptée. Traiter, avec les étudiants et les stagiaires, de telles « questions vives » de citoyenneté est un moyen de leur permettre de faire le lien entre les apports académiques et leur expérience, et ainsi de se construire comme enseignant.
La finalité de cet ouvrage est de rendre explicites les différents écueils générés par la pratique de la formation en éducation à la santé et d’offrir au lecteur quelques-unes des clés disponibles pour les prendre en charge.
Destiné à l’ensemble des acteurs de la formation, à des professionnels de diverses disciplines et d’origines institutionnelles variées, sa rédaction a été pensée dans le but d’aider à l’émergence d’une culture commune aux différents acteurs dans le cadre d’un travail en partenariat.Éducation à la santé : quelle formation pour les enseignants ? [texte imprimé] / Didier Jourdan (1963-....), Auteur . - Saint-Denis : INPES éd., impr. 2010 . - 1 vol. (162 p.) : graph., couv. ill. en coul. ; 24 cm. - (La Santé en action (Vanves), ISSN 1242-8825) .
ISBN : 978-2-916192-14-7 : gratuit
INPES = Institut national de prévention et d'éducation pour la santé
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Éducation à la santéEnseignement Index. décimale : 613.0 Résumé : L’éducation à la santé vise à aider chaque jeune à s’approprier progressivement les moyens d’opérer des choix, d’adopter des comportements responsables en matière de santé, pour lui-même comme vis-à-vis d’autrui. Elle permet ainsi de préparer les jeunes à exercer leur citoyenneté. L’action de l’école est alors de contribuer à développer cette capacité à décider par soi-même, à prendre en main sa propre santé. Dans cette perspective, l'éducation à la santé n'est pas l'affaire de spécialistes, mais relève de l'action quotidienne des adultes en charge de l'éducation des enfants et des adolescents.
Pour les enseignants des premier et second degrés, l’éducation à la santé prend place au sein d’une multitude de missions. Leur formation dans ce domaine ne peut donc se limiter à organiser des séances d’information sur les différents thèmes liés à la santé. C’est en articulation étroite avec les autres dimensions du métier d’enseignant aujourd’hui et en se situant au cœur de la dynamique de redéfinition du métier d’enseignant que peut être proposée une formation réellement adaptée. Traiter, avec les étudiants et les stagiaires, de telles « questions vives » de citoyenneté est un moyen de leur permettre de faire le lien entre les apports académiques et leur expérience, et ainsi de se construire comme enseignant.
La finalité de cet ouvrage est de rendre explicites les différents écueils générés par la pratique de la formation en éducation à la santé et d’offrir au lecteur quelques-unes des clés disponibles pour les prendre en charge.
Destiné à l’ensemble des acteurs de la formation, à des professionnels de diverses disciplines et d’origines institutionnelles variées, sa rédaction a été pensée dans le but d’aider à l’émergence d’une culture commune aux différents acteurs dans le cadre d’un travail en partenariat.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité B522 B522 Livre Centre Bruxellois de Promotion de la Santé Livres Consultation sur place
Exclu du prêtLes minorités sexuelles face au risque suicidaire
Titre : Les minorités sexuelles face au risque suicidaire : acquis des sciences sociales et perspectives Type de document : texte imprimé Editeur : Saint-Denis : INPES éd. Année de publication : impr. 2010 Collection : La Santé en action (Vanves), ISSN 1242-8825 Importance : 1 vol. (110 p.) Présentation : ill. en coul., couv. ill. en coul. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-916192-22-2 Prix : gratuit Note générale : INPES = Institut national de prévention et d'éducation pour la santé
Bibliogr. p. 89-110. RésuméLangues : Français (fre) Mots-clés : SexualitéSuicide Index. décimale : 362.2 Résumé : Depuis la fin des années 1990 (aux Etats-Unis d'abord, puis dans d'autres pays dont la France), les enquêtes les plus probantes ont mis en évidence un risque suicidaire plus élevé parmi les jeunes sexuelles - gays, lesbiennes, bisexuel(le)s, transgenres - et ceux qui se questionnent sur leur identité sexuelle ou de genre.
L'homophobie est aujourd'hui le facteur de risque le mieux identifié pour comprendre cette sursuicidalité. Les phénomènes d'exclusion, de mépris et de stigmatisation peuvent en effet provoquer une perte d'estime de soi, une perte de confiance dans l'avenir et les autres. Le soupçon d'appartenance à une minorité sexuelle ou de non-conformité de genre - qui peut toucher tout jeune, indépendamment de son orientation sexuelle effective - conduit également souvent la personne qui le subit à une grande détresse qui favorise les symptômes suicidaires.
Quelle que soit la stratégie mise en oeuvre par le jeune pour éviter ou résister à une discrimination, le coût psychique et physique est souvent élevé. D'autant que par rapport à d'autres types de discriminations, les discriminations homophobes ou liées à une non-conformité aux stéréotypes de genre se caractérisent par un faible soutien de la famille, une faible intervention des adultes et des préjudices particulièrement précoces.
Il existe en France des initiatives de prévention de ces discriminations et du risque suicidaire qui gagneraient à être mieux connues et parfois généralisées. Autre piste de travail: la sensibilisation des professionnels en contact avec les jeunes, qu'ils viennent des champs éducatif, sanitaire, social, judiciaire... Enfin, pour continuer à améliorer nos connaissances, il semble essentiel d'intégrer plus nettement, en amont de la conception des enquêtes, ces phénomènes spécifiques que sont l'homophobie, la lesbophobie, la transphobie et le sexisme.Les minorités sexuelles face au risque suicidaire : acquis des sciences sociales et perspectives [texte imprimé] . - Saint-Denis : INPES éd., impr. 2010 . - 1 vol. (110 p.) : ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 24 cm. - (La Santé en action (Vanves), ISSN 1242-8825) .
ISBN : 978-2-916192-22-2 : gratuit
INPES = Institut national de prévention et d'éducation pour la santé
Bibliogr. p. 89-110. Résumé
Langues : Français (fre)
Mots-clés : SexualitéSuicide Index. décimale : 362.2 Résumé : Depuis la fin des années 1990 (aux Etats-Unis d'abord, puis dans d'autres pays dont la France), les enquêtes les plus probantes ont mis en évidence un risque suicidaire plus élevé parmi les jeunes sexuelles - gays, lesbiennes, bisexuel(le)s, transgenres - et ceux qui se questionnent sur leur identité sexuelle ou de genre.
L'homophobie est aujourd'hui le facteur de risque le mieux identifié pour comprendre cette sursuicidalité. Les phénomènes d'exclusion, de mépris et de stigmatisation peuvent en effet provoquer une perte d'estime de soi, une perte de confiance dans l'avenir et les autres. Le soupçon d'appartenance à une minorité sexuelle ou de non-conformité de genre - qui peut toucher tout jeune, indépendamment de son orientation sexuelle effective - conduit également souvent la personne qui le subit à une grande détresse qui favorise les symptômes suicidaires.
Quelle que soit la stratégie mise en oeuvre par le jeune pour éviter ou résister à une discrimination, le coût psychique et physique est souvent élevé. D'autant que par rapport à d'autres types de discriminations, les discriminations homophobes ou liées à une non-conformité aux stéréotypes de genre se caractérisent par un faible soutien de la famille, une faible intervention des adultes et des préjudices particulièrement précoces.
Il existe en France des initiatives de prévention de ces discriminations et du risque suicidaire qui gagneraient à être mieux connues et parfois généralisées. Autre piste de travail: la sensibilisation des professionnels en contact avec les jeunes, qu'ils viennent des champs éducatif, sanitaire, social, judiciaire... Enfin, pour continuer à améliorer nos connaissances, il semble essentiel d'intégrer plus nettement, en amont de la conception des enquêtes, ces phénomènes spécifiques que sont l'homophobie, la lesbophobie, la transphobie et le sexisme.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité B521 B521 Livre Centre Bruxellois de Promotion de la Santé Livres Consultation sur place
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